mardi 27 septembre 2011

Laissez parler les p'tits papiers...

Très joli spot pour sensibiliser tout un chacun à l'importance du recyclage...


 Et tant qu'on est dans les actes engagés, j'ai découvert en recherchant qui chantait cette version des Ptits Papier sur le spot, une toute autre version reprise par Jeanne Balibar, Bertrand Cantat & Co, ayant formé pour l'occasion le collectif "Liberté de circulation", pour soutenir les étrangers en situation irrégulière :

lundi 26 septembre 2011

Vous parler de Muze...

Parce que Muze n'est pas un magazine comme les autres...

Parce que Muze ressemble plutôt à un beau livre qu'à un magazine...

Parce que dans Muze, il n'y a aucune publicité... et ça me plait d'en faire pour eux !

Parce que enfin, il s'agit d'un magazine où l'on parle de culture, de lecture, d'écriture, où des dossiers de fond très intéressants sont traités...

Parce qu'il s'agit d'un magazine dans lequel vous pouvez être publié(e)...

Parce que tout, de la première à la dernière page est intéressant...

....

Le dernier numéro d'automne vient de sortir, avec plein de dossiers intéressants. Si vous ne connaissez pas encore, essayez ! Alors certes, le prix peut refroidir (12,90 €), mais je rappelle qu'il s'agit d'un bel ouvrage épais, imprimé sur du beau papier, qui n'est pas pollué par la publicité (et ça, c'est appréciable) et qui donnera quelques chouettes heures de lecture et de culture. Chez moi, on ne le trouve pas en kiosque mais en librairie. Et si vous souhaitez en savoir plus, n'hésitez pas à cliquer sur le lien MUZE dans mes favoris à droite, vous serez ré-orienté vers leur site.

Bonne lecture !

dimanche 18 septembre 2011

Rosa Candida...

J'en parle à chaud parce que je viens de le finir... Et il faut que j'en parle à chaud !

J'ai refermé ce livre, en larmes... En sanglots même ! Cela m'arrive de temps en temps je l'avoue, mais pour qu'un livre me fasse sangloter à ce point, c'est qu'il m'a remuée !

Alors oui, de gros sanglots me secouaient, mais pas parce que c'était triste, juste parce que c'était tendre, émouvant, bouleversant et frais, parce qu'Arnjoltur, le personnage central, un peu candide, un peu naïf, un peu ingénu était extrêmement attachant et parce qu'on ne peut s'empêcher de penser que la petite Flora Sol est un angelot tombé du ciel !

Ce roman écrit par une femme mais dont le narrateur est un jeune homme, se déroule "hors temps et hors lieu", c'est-à-dire qu'on ne sais pas du tout à quelle époque cela se déroule ni dans quels endroits... Alors l'imagination fonctionne à fond, et j'aime cela ! Il s'agit en quelque sorte du road-movie initiatique d'un jeune homme épris d'horticulture, papa "malgré lui" qui part à la découverte et la recherche de son "moi", à la découverte de sa vie d'adulte. Mon imagination m'a fait penser que le narrateur quittait son Islande natale pour rejoindre une contrée isolée quelque part en Grèce... Mais je me trompe peut-être !

Je suis encore si bouleversée par la douceur de l'histoire, par la tendresse qui s'en dégage, par la beauté de la description des sentiments et des situations, que je ne vais pas vous en faire un résumé...

... Juste vous parler de la petite Flora Sol, de Frère Thomas, du Monastère, de la maman décédée mais toujours présente, de la rose à huit pétales, du plus beau jardin du monde, d'un coin du monde hors du temps, de l'enfant-Jésus, du vitrail, d'Anna, de Josef, du Papa attentionné et de l'amour et de la pûreté qui dégouline de partout ! C'est réconfortant et fondant comme un bonbon, c'est poétique et émouvant...

Lisez-le ! .... Et dites-moi ce que vous en avez pensé... Et dites-moi également ce que vous en avez pensé si vous l'avez déjà lu, car comme je le disait, pour qu'un livre me fasse pleurer ainsi à gros sanglots, c'est qu'il y a quelque chose de spécial. Et d'ailleurs, il y a quelque chose de spécial : quand on arrive à la fin du livre, on se dit que rien ne s'est passé par hasard : la main de Dieu était là !

mercredi 14 septembre 2011

Etre ou ne pas être à la page !

J'ai pour habitude de lire plusieurs livres en même temps :
- celui du soir au coucher
- celui de l'après-midi le week-end
- celui du trajet en tram le matin
- celui qui se lit facilement pour me détendre
- celui qui est plus sérieux quand je suis en capacité de me concentrer
- .......

Bref, j'ai toujours un livre sous la main pour chaque moment de la journée ou selon mon état d'esprit...

Et il y a une chose que j'ai en sainte horreur, c'est corner les pages pour se rappeler où l'on est rendu : sacrilège ! Comment peut-on corner et donc abimer une page de livre (voire plusieurs !) ?

C'est pourquoi j'ai à ma disposition un éventail de marques-pages ! Je les adore ! Je les trouve dans ma librairie favorite de Rivétoile, un tourniquet rempli de très jolis marques-pages. Si bien que régulièrement, quand je vais flâner là-bas, je reviens bien souvent avec un de plus pour ma collection ! Le libraire de ma très chère "Droguerie Maritime" de Saint-Malo m'en donne également un à chaque fois que j'achète un livre chez lui, et ils sont également très sympas. Ils ne figurent pas tous sur la photo, j'en donne souvent (Maman en a d'ailleurs quelques uns !), et chaque fois que j'offre un livre, j'en insère un qui correspond à la personnalité de la personne, ou dont le motif lui plaira.

Au fait...... S'ils sont étalés sur la table, là.... ça veut dire que j'ai perdu la page de tous les bouquins que j'étais en train de lire !!!!

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Petit message pour Melle Shang : je voulais mettre un commentaire sur ton blog hier, mais impossible de le valider, je ne comprends pas pourquoi, blogger ne reconnaissait pas mon compte ! Je voulais donc te dire merci pour ton gentil message, et que je viendrai souvent te rendre visite : nous avons effectivement beaucoup de goûts en communs, notamment musicaux ! A tout bientôt donc, en espérant qu'à l'avenir, je réussisse à commenter tes billets !

Merci aussi à Adeline ! Et à toutes celles qui me suivent !
Bises

lundi 12 septembre 2011

Souvenir...

Tu aurais eu 76 ans aujourd'hui....



12 années que tu nous as quitté, et pas une journée ne passe sans que je ne pense à toi mon Papa d'amour, et plus particulièrement aujourd'hui 12 septembre, jour de ton anniversaire...

Sur cette photo, tu étais déjà bien malade, et je crois bien que c'est l'une des dernières où nous sourions encore, savourant chaque seconde de vie.






Tu nous manques...

vendredi 9 septembre 2011

Vincent... Le retour !

Cela faisait bien longtemps que je n'avais plus de nouvelles de "mon Vincent".... Celles qui me connaissent bien savent qu'il s'agit de Vincent Delerm, mon "idole", mon "inspiration"... Eh bien il revient enfin sur le devant de la scène avec deux projets apparemment bien intéressants !

* Le premier est un retour sur scène mais celle du théâtre ! Du 6 au 30 décembre prochain, il prendra ses quartiers au Théâtre des Bouffes du Nord à Paris pour un spectacle mêlant musique et théâtre. Une pièce en chansons, "Memory", qui racontera l'évolution du personnage de Simon à travers différentes époques. En fin de compte, le théâtre n'est pas une première pour lui puisqu'il avant déjà signé en 2004 une pièce intitulée "Le fait d'habiter Bagnolet". Il y a quelques jours avec mon Philou, on papotait "Noël", et je lui disait que s'il me demandait là maintenant tout de suite ce que je voudrais qu'il m'offre, je lui répondrais que je n'en ai aucune idée.... A la découverte de ce spectacle de Delerm en décembre, j'ai en fin de compte bien envie de lui demander un petit week-end à Paris avec une halte...... au théâtre des Bouffes du Nord !

Depuis ses débuts en 2002, Vincent Delerm inscrit chacun de ses spectacles dans une perspective autant musicale que théâtrale, proposant une vision du tour de chant classique renouvelée, et ponctuant ses concerts de films, voix off et divers monologues. Il avance un pas plus loin cette fois, mettant en scène un spectacle écrit comme une pièce de théâtre, et ponctué de chansons inédites (qui n'auront donc pas, contrairement à la coutume, été précédées d'une sortie d'album). Le personnage de Simon qu'il interprète (en la compagnie du musicien multi-instrumentiste Nicolas Mathuriau) est obnubilé par la fuite du temps. Il consacre toute son énergie à tenter de le retenir, à répertorier les différentes époques de sa vie, à analyser la manière dont les modes qu'il a connues se sont démodées. Jouant sur les différents registres esthétiques et vidéos liés à chaque période qu'il a traversée (le super 8 amateur des années 70, les images caméscope des années 80, le cinéma d'auteur des années 90), il dresse un portrait mélancolique et humoristique de notre rapport au temps, à la solitude et aux souvenirs. Il signe la mise en scène avec la complicité de Macha Makeïeff.





* Le deuxième retour est un retour en chanson avec un livre-CD pour enfant : "Léonard a une sensibilité de gauche".
L'histoire: Un grand-père (Jean Rochefort) et son petit-fils dialoguent à propos de tout, de rien, de sensibilité, de poulets, d'écharpes et de politique. Léonard a dix ans et se pose des tas de questions, il voudrait comprendre ce que veut dire "être de gauche", savoir si "de droite" ça existe et si on a une plus belle vie quand on est "de gauche". Une conversation tendre et loufoque rythmée par les chansons de Vincent Delerm.





Le poulet du dimanche est-il de gauche ? Et la crème chantilly ? Et le foot ? Et qu'est-ce que ça veut dire "être de droite" ou "de gauche" ?
Léonard se pose des questions.
Est-ce qu'on a une plus jolie vie quand on est de gauche ? C'est quoi les avantages d'être de gauche ?
Grand-Pierre est là pour expliquer.
La gauche, la droite, la politique d'immigration, la mélancolie, les feux de bengale et les choses qu'on ressent quand la fête est finie.




J'aime bien l'idée des retrouvailles entre Jean Rochefort et Vincent Delerm et il me tarde de découvrir ce nouvel opus de "mon Vincent" dans un registre dans lequel je ne m'attendais pas du tout à le voir, la chanson pour enfant !